L’affaire est invraisemblable. Presque tirée d’une fiction « Nollywoodienne », un internaute la raconte sur Facebook.
L’histoire se serait déroulé dans un petit village de l’Ouest de la Côte d’Ivoire où un instituteur y est fraichement affecté.
Sorti du Centre d’Aptitude et de Formation Pédagogique (CAFOP) avec un zèle hors du commun, le « maître » fait son travail à la perfection avec ponctualité et rigueur.
Mais, selon celui qui narre les faits, les élèves le détestaient justement pour ce travail assidu dont il ne manquait jamais une seule minute.

Un jour, pendant qu’il surveillait un devoir, il aurait tapé la tête d’un de ses élèves à cause de quelques ratures dans le cahier de ce dernier.
Une tape de rien du tout (d’après celui qui rapporte les faits), mais qui lui sera quand même fatale.
En effet, deux semaines après cet incident, « monsieur » avait du mal à quitter son lit pour se rendre au travail. Se plaignant de douleurs avec une vague impression de recevoir des coups toutes les nuits, il aurait fini par succomber.

Un mois après le décès de l’instituteur, un élève d’une autre classe qui discute avec sa maîtresse, lui dévoilera tout sur l’origine des maux dont souffrait son feu collègue et de sa mort.
L’élève raconte, qu’en réalité, la tape du défunt instituteur sur l’enfant aurait fait tomber la couronne de l’élève, qui serait un prince dans le monde de l’invisible.
Et, le prince, se serait alors juré de faire payer son « maître » coûte que coûte.
L’enfant et ses amis sorciers rendaient donc visite à l’enseignant chaque nuit et le rouaient de coups d’où le mal qu’il ressentait chaque matin. Une nuit, la confrérie aurait décidé de mettre fin à la vie de l’instituteur et le coup fatal serait venu du fameux prince sorcier.

« Wouh »! Yako à la famille éplorée et courage aux acteurs de ce métier noble.
Donc si je comprends bien, on est tous en danger, quoi?
Est-ce que cette histoire est d’abord réelle, même ?

Jocelyne ozouah Souhainé