L’émission « NCI 360 » avec pour thème « L’école Ivoirienne, notre affaire à tous » de ce dimanche 21 Février continue d’alimenter les débats.

Suite au dernier rapport PASEC (Programme d’analyse des Systèmes Éducatifs de là Confemen) qui met en lumière les failles du système éducatif Ivoirien, plusieurs points ont été revus afin de faire des propositions concrètes pour guérir les maux de l’école en Côte d’Ivoire.

Le niveau des enseignants, le manque d’infrastructures, la pédagogie par compétence, l’effectif pléthorique, la responsabilité des parents, le retrait de la table de multiplication et la dictée, etc…

Si le débat était de qualité, une personne a particulièrement retenu l’attention des téléspectateurs parmi les 6 hommes invités pour la discussion.
Monsieur Paul Yao-Yao, inspecteur de l’enseignement primaire à la retraite qui soutient que « la dictée n’a rien d’intelligent dans l’apprentissage d’un enfant », a surpris plus d’un quand il a affirmé qu’il a applaudi des mains et des pieds le retrait de la dictée dans le système éducatif. Pour cause, le tonton a avoué qu’il a été traumatisé en 1966 par une dictée qui commençait par « Cinquante hideux charognards… »

La sortie de l’inspecteur à la retraite n’est pas passée inaperçue. Pacôme Christian Kipré alias « Peck Peckisblackman », écrivain Ivoirien et très célèbre sur la toile, a rédigé un texte commençant par « Cinquante hideux charognards » qu’il a partagé sur les réseaux sociaux ce 22 Février 2021. Le texte qui suscite déjà plein de réactions drôles de la part des internautes n’arrête pas d’être repartagé.

Tchiaaa! En tout cas, si la dictée de 1966 là ressemble à ce texte, notre tonton l’inspecteur avait raison d’être traumatisé, dêh ! C’est pas les petits mots: Bisounoursse, imbroglio, phosphorescents, désidératas, etc…
Gros français comme ça pour enfant de CM2?

Jocelyne Ozouah Souhainé