Gouvernement d’Élisabeth Borne là, les choses sérieuses n’ont pas encore commencé qu’il y a déjà problèmes, quoi ?!
Dès qu’il a pris fonction en tant que ministre des solidarités samedi 21 Mai dernier net, deux femmes l’ont accusé de viol, en même temps des gens demandent sa démission, « iheuuu »!

Le nouveau ministre des Solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées, Damien Abad, est devenu le « lourd » premier dossier du gouvernement français.
Deux femmes (35 et 41ans) l’accusent de viol.
Margaux, l’une des deux victimes avait déjà porté plainte en 2012 et 2017 pour des faits qui se seraient passés en 2011.
Mais ces 02 plaintes auraient été classées sans suite par le parquet de Paris.
De ce qu’elle raconte, elle aurait rencontré Damien en 2009. L’homme l’aurait dragué par SMS, puis, un soir de 2011, elle l’aurait retrouvé à Paris et ils auraient eu une relation sexuelle. Elle avoue qu’elle était d’ accord au départ, mais que « l’affaire » s’était finie par la force avec des ordres et des injures.

L’autre femme, elle, dénonce des faits qui se seraient déroulés pendant une soirée en 2010, dans un bar, toujours à Paris.
Damien Abad lui aurait proposé un verre d’alcool (champagne) et puis… Plus rien!
Elle se serait réveillée le lendemain matin en « caleçon » et « soutien », dans une chambre d’hôtel pas loin du bar en question. Elle affirme avoir été droguée : « Je me sentais cotonneuse, mon corps était groggy, courbaturé et douloureux, je savais qu’il s’était passé quelque chose de pas normal », voici ce qu’elle a confié à Mediapart, média a l’origine du scandale.

Hier, Mardi 24 Mai 2022, des centaines de personnes ont marché à Paris pour mettre la pression sur ce qu’ils qualifient de « gouvernement de la honte » à cause de la présence de Damien Abad qui est toujours « calé ».

Pourtant, le nouveau ministre des solidarités, de l’autonomie et des handicapés, lui-même handicapé, nie tout en bloc et n’envisage pas démissionner.
Il est allé jusqu’à demander comment lui, façon il est là, il pouvait arriver à faire des « trucs » à une femme qui ne veut pas: « Je suis contraint aujourd’hui de préciser que, dans ma situation, l’acte sexuel ne peut survenir qu’avec l’assistance et la bienveillance de ma partenaire. (…) Que sans le consentement et la participation pleine et entière de l’autre, rien n’est possible ».

Éehhh !
Hum!

Jocelyne ozouah Souhainé