Je venais d’avoir une nouvelle petite amie : Katy. Il y a quelques semaines, elle avait rompu avec son gars, après de violentes querelles. Je ne savais rien de ce type à part qu’il était mince et grand. Le contraire de moi qui suis gros et mesure à peine le mètre 60.

Je faisais la cour à Katy pendant qu’elle était encore en couple avec son môgô. Et ça finit par payer, puisque désormais, j’avais remplacé ce môgô. Voyez-vous l’importance de ne jamais lâcher prise même quand une go vous dit être en couple ? Restez aux aguets, patientez au carrefour, on ne sait jamais…
        
Vu la rapidité avec laquelle ma nouvelle go m’accepta après son  »divorce », tout ce que j’espérais, c’était qu’elle ne se serve pas de moi comme d’une simple option pour oublier son  »goumin »’. Tout compte fait, après juste deux semaines de flirt, Katy s’était décidée à s’offrir complètement à moi.

Une nuit, à l’hôtel, immergés dans le noir, nos corps se frottèrent dans une frénésie envoûtante. Après une quinzaine de minutes de préliminaires, j’introduisis mon bazouzou à l’intérieur de ma nouvelle chérie. J’allais et je venais ensuite au dessus d’elle, avec une vitesse et une rapidité féroces, de sorte à imposer le respect que mérite un homme au front. Katy répondait à mes assauts par des gémissements que je ne trouvais pas intenses à mon goût. Soudain, elle me fit une affirmation qui me donna froid dans le dos :
– Bébé, ça suffit avec le doigt. Le préliminaire a assez duré. Mets ton bazouzou maintenant, mets ton bazouzou !

       
Quoi ? Pour ma nouvelle chérie, tout ce temps, c’était mon doigt qui faisait ce travail ?
    
     
Des sueurs froides dégoulinèrent le long de mon corps. J’étais abattu, pensant à l’ex de Katy… Si mon truc lui paraissait être un doigt, de quelle dimension était celui de son ancien gars ?😱

Louis-César BANCÉ