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MOI, SUGAR DADDY D’UNE LYCÉENNE !

MOI, SUGAR DADDY D’UNE LYCÉENNE !

C’est une fille de 17 ans qui a l’air d’en avoir bien plus. Elle est si en forme que je n’ai pas pu m’empêcher de stationner mon véhicule près d’elle, pour l’interpeller un soir après sa sortie de l’école. Elle marchait sur le trottoir, dans sa jupe bleue et son corsage blanc. J’ai senti une certaine peur en elle quand je l’ai abordée, le menton sur la fenêtre de ma voiture. Je lui ai parlé d’une voix aimable en m’empressant de lui glisser cinq billets de 10.000 francs dans la main. Elle en était si surprise qu’elle a semblé faire un hoquet. Je sais que pour épater les petites filles, il faut leur donner du fric. Elles ont beaucoup de problèmes, et leurs parents ne leur donnent pas conséquemment de l’argent. À 64 ans, j’ai tout gagné dans ma vie, et plus aucune espèce de filles ou de femmes n’a de secret pour moi.

  Mes pronostics se sont avérés justes pour ce qui est de la réponse de la lycéenne relativement à mon approche sentimental. Quelques jours après notre première rencontre, elle me demanda plusieurs fois de lui faire des transferts d’unités ou des dépôts d’argent. Je ne lui refusai rien. En retour, quand je lui déclarai que je voulais passer un moment intime avec elle, son message favorable me fit jubiler.

-On pourrait le faire demain, s’il te plaît, mon Sugar Daddy ? Vu que j’ai cours aujourd’hui…

-Prunelle, Mon Bébé, ce serait cool que ce soit aujourd’hui. J’ai tellement hâte de te prendre dans mes bras ! Quand j’avais ton âge, je grillais souvent les cours pour les choses utiles de ce genre…

-Mais je suis en classe de Terminale, Bébé. J’ai un examen à passer en fin d’année…

-Même en Terminale, on peut sécher les cours, par amour pour son Amour. Et puis, façon c’est chic quand tu t’en vas te faire plaisir pendant les heures d’école !

-Fhum… Comme tu insistes Mon Sugar Daddy…

Ce mardi matin, jour d’école, ma jolie lycéenne et moi sommes allés à Bassam, à bord de ma voiture 4×4. On avait décidé de l’endroit où on devrait se dévorer : ce serait dans un bungalow, sur le sable de mer. Arrivés à destination, nous avons parlé avec les gérants de l’espace. Ils nous informèrent que toutes les maisonnettes fantaisistes étaient occupées. Il nous fallait patienter…

Nous patientions dix minutes, quinze, trente, bientôt une heure. Un couple sortit d’un bungalow, à notre grand bonheur. Nous avions hâte de les remplacer, le temps que le gérant fît le nettoyage du lieu profané. Le couple passa devant nous, occupés à se tripoter. C’était un homme d’une soixantaine d’années et une fille en jupe bleue et en corsage blanc aux boutons hors de cavité. Une élève. Diantre ! Je ne l’avais pas bien regardée…😮 Tout à coup je reconnus ma fille, dans sa perruque noire afro extravagante que je ne lui ai jamais connue, et ses seins pointus mis à nu par un soutien-gorge filet. Son sugar daddy marchait derrière elle en lui appuyant les fesses. Mon cœur se serra. Dévasté, pris soudainement d’une migraine, je criai ma colère :

-Flora ! tu fais quoi ici au lieu d’être à l’école ? 😮
Ma fille tourna la face vers moi, et à ma vue, elle s’exclama, la panique sur le visage, la main sur la bouche grandement ouverte :

-Papa ! 😮

Elle se mit aussitôt à courir pendant que son sa…laud et pédo…phile de sugar daddy essayait de l’imiter, allant lourdement à ses trousses avec sa bedaine. J’étais choqué, remonté ! Ma fille n’a que 16 ans et ne manque de rien !😭 Pourquoi ?🤦🏾‍♂

Louis-César BANCÉ

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