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DANS L’INCAPACITÉ DE ME SATISFAIRE AU LIT, VOICI LA CHOSE EXTRAORDINAIRE QUE MA FEMME A FAITE POUR MOI

DANS L’INCAPACITÉ DE ME SATISFAIRE AU LIT, VOICI LA CHOSE EXTRAORDINAIRE QUE MA FEMME A FAITE POUR MOI

J’ai connu beaucoup de femmes dans ma vie. Parmi elles, il y en avait, une bonne dizaine, qui, par leurs caractères délicieux, méritait absolument le mariage. En tout cas, selon mes critères d’appréciation, cette poignée-là était mariable car elle aurait fait des épouses parfaites pour l’homme de la quarantaine que je suis. Et comme nous ne sommes pas au temps du roi Salomon pour que je me permisse de toutes les épouser, en ces temps devenus durs, je dus faire un choix.

C’est à Olga que je mis la bague au doigt, une femme de la trentaine que j’ai connue lors d’une virée nocturne, dans une boite de nuit. Cadre dans une société de mobilophonie dirigée par LCB, elle était sortie avec ses copines pour se défouler un peu, prendre de l’oxygène. Cette nuit-là, l’inconnu que j’étais pour elle, l’a invitée à danser. De là sont partis nos premiers dialogues, mes premières dragues, et bien plus tard, nos premiers flirts avant que nous ne commencions à sortir ensemble.

   La particularité d’Olga par rapport à mes autres gos dont je lui cachais l’existence, c’était son flanc maternel très développé. Avec elle, j’avais l’impression d’avoir, en plus d’une femme, une mère. Toujours disposée à prendre soin de moi comme le ferait une maman pour son enfant, Olga, d’une gentillesse inqualifiable, était animée d’une incommensurable empathie. Après 2 ans de relation, nous avons officialisé notre union tandis que l’ayant appris sur les réseaux sociaux, mes nombreuses petites amies de l’ombre m’ont téléphoné pour m’injurier en mettant un terme à notre liaison. De toute façon, étant désormais un homme marié, donc responsable, je ne comptais aucunement entretenir la moindre relation extra-conjugale. Ma vie de yéyé et tout son bordel, je l’avais définitivement enterrée.     
                  
Mariés, Olga et moi habitions ensemble, dans un superbe appartement. J’ai cru que j’avais fini de découvrir toutes les vertus de ma magnifique épouse, alors qu’elle avait encore des facettes mirobolantes que j’étais loin de pouvoir soupçonner. En effet, un week-end, après une sortie avec des amis au cours de laquelle nous avions consommé beaucoup de bière, j’étais rentré chez moi très «inspiré». C’est par cet ivoirisme qu’on désigne quelqu’un à qui la boisson a fait un certain effet sans pour autant qu’il ne soit exagérément saoul. Cette nuit-là, j’avais intensément envie de faire des cabrioles, de croquer mon épouse. Je l’ai embrassée comme jamais, dans la chambre, en griffant ses rondeurs plutôt que de les caresser, jusqu’à ce qu’elle me stoppât en voyant que j’avais l’intention d’aller plus loin :

– «Non, non, chéri, on ne pourra pas le faire aujourd’hui. Ça tombe mal, j’ai mes menstrues.»

– «Oh, mince ! Alors que je suis si en « djonss » ! Adanman, ma doubéhi, on peut faire ça ? »

Je me morfondais sur le lit, avec mon soldat durci dans mon pantalon, à qui la cible interdisait toute intrusion. Elle me sentit tellement souffrir de ne pouvoir assouvir mes désirs qu’elle me proposa soudain, à ma grande surprise :

– «Pourquoi tu fais cette tête, Paul, mon gros bébé ? Tu as si envie que ça ? Reste serein, je vais appeler l’une de mes amies en renfort. Elle va venir te dépanner.   
                
Bouchée bée, je regardai ma femme en me disant qu’elle plaisantait.

– «Eh bah, oui ! Je suis sérieuse !»

– «Non, tu plaisantes !»

– «Si, je suis très sérieuse. Tu crois que je vais te laisser dans cet état-là ? Laisse-moi faire…»

   Ma femme composa un numéro et dialogua avec une certaine Marina, que je ne connaissais pas… Je l’entendis dire des choses invraisemblables au bout du fil tout en restant silencieux pour voir jusqu’où ses blagues auraient leurs limites. Une demi-heure plus tard, une jeune fille s’emmena à notre appartement, dans une tenue des plus sexy. Elle savait sa mission que ma femme corrobora :

– «Occupe-toi de mon mari. Vide-le complètement de son jus.
              
Quand je voulus dire un mot, Olga plaqua l’index sur ma bouche :

– «Ne dis rien. Vous n’allez pas le faire dans notre lit conjugal, tout de même. Allez, dans la chambre des visiteurs ! Surtout, préserve-toi, hein, mon doudou. »

Olga montra le chemin à notre hôte, qui me prit par la main en m’emmenant dans une pièce…
          
  Pendant une heure ou plus, notre visiteuse m’a bien « mougou » pendant que ma femme était au salon, à regarder la télé comme si de rien n’était…😭
**
Après le dépannage de Marina, j’ai dormi comme un mort. À mon réveil, le lendemain, l’allumeuse n’était plus là. En regardant ma femme, j’avais honte de moi, de ce que j’avais fait, sous ses yeux :

– «Chérie, que s’est-il passé hier ? Qu’ai-je fait ? Pourquoi m’avoir emmené ton amie pour me tenter ? Je t’assure que je me suis fait avoir parce que j’étais soulé. 😢»

– «Tu as quel problème, Paul ? Pourquoi tu culpabilises ? Même si c’était à refaire, je le referais. Tu avais besoin de sexe, je t’ai juste envoyé quelqu’un pour te dépanner. 😊»

– «😳»

Je croyais connaitre ma femme, mais je découvrais avec cette expérience combien elle était unique, extraordinaire. Que demander de mieux ? Si toutes les femmes du monde pouvaient être comme mon épouse, les hommes auraient moins de stress, moins de AVC, vivraient heureux et plus longtemps. Que j’ai de la chance ! À vous mes amis, je vous souhaite, du fond du cœur, d’avoir une femme aussi spéciale que ma Olga !

Louis-César BANCÉ

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